Quand le jeune diplômé au chômage fait sa rentrée

Il a la pression grave !!!
C’est fini pour lui de se cacher derrière cette (bonne) excuse des vacances : les bureaux des RH sont vides, les annonces paraissent au compte-gouttes et il faut l’avouer l’atmosphère ambiante pousse au farniente.

En ce joli mois de septembre, le jeune diplômé au chômage n’est plus seul !
Il vient de se faire rattraper par une nouvelle tournée de jeunes diplômés au chômage ! En témoigne les statistiques de ce blog qui ont explosé (c’est peut-être un peu fort…) ces dernières semaines ! Pas un jour ne passe sans frôler les 200 visiteurs (bon ok exploser c’était vraiment trop fort…) alors que nous avions trouvé un rythme de croisière plutôt rassurant avec nos 70 views quotidiennes !

Le jeune diplômé au chômage est un peu flippé aussi, parce qu’il pensait que l’activité allait reprendre et les annonces refleurir comme au printemps. Mais que nenni, 10 jours que chacun a regagné son bureau et l’encéphalogramme du marché de l’emploi semble toujours aussi plat

Les budgets sont pour certaines entreprises gelés car dès la fin des grandes vacances c’est déjà la fin de l’année et les jours hommes sont comptés ! Elles se lancent alors dans cette lancinante tendance qui agace profondément le jeune diplômé au chômage : les stages !
Il pensait en avoir terminé alors toutes ces annonces de stages très longue durée qui pourrait tout aussi bien faire des CDD ça l’exaspère… Le jeune diplômé va-t-il ou ne va-t-il pas craquer et finir par y postuler ? La plupart laisse entrevoir un CDI derrière alors qui sait ça pourrait marcher…

N’hésitez pas si vous avez une expérience à partager !

24 Responses to Quand le jeune diplômé au chômage fait sa rentrée

  1. MelleChômage dit :

    Quand le jeune diplômé au chômage fait sa rentrée
    Il a la pression grave !!! C’est fini pour lui de se cacher derrière cette (bonne) excuse des vacances :

    C’est tout à fait ça! Depuis le 1er septembre: mon niveau de stress a explosé. Et puis tout le monde reprend le boulot alors la culpabilité revient de plus belle aussi…

  2. Nathalie dit :

    Salut, je suis tombée sur ton blog par hasard qui a l’air bien sympa et surtout plutôt complet. J’entre également dans la vie active (la vie de chomeuse quoi) après 5 ans d’études en chimie. J’ai pas encore eu l’occasion de m’y mettre à temps plein mais je sens que la recherche ne sera pas facile facile! Je compte sur ton blog pour me remonter le moral 😉

    • berth dit :

      la chimie est un secteur bouché depuis le debut des année 90
      depuis 20 ans ! notamment la R et D etr les usines ferment !
      nombreux diplomé de l’université en chimie sont sans emploi , déclassé ou se sont reconvertie
      seuls ceux issue des meilleurs ecole d’ingénieur en chimie s’en sorte à condition toutefois de choisir la bonne spécialité et faire les bon stages !
      tu peux m’envoyer ton cv je t’indiquerai ce que tu peux faire avec en ce moment

  3. lili dit :

    Hello ! Je viens grossir les rangs des jeunes diplômés stressés en recherche d’emploi. En ces temps de crise, où l’on postule sur un job, croyant à coup sûr, que cette fois-ci sera la bonne, on vous annonce que vous n’êtes pas seule et que ce DRH bien sympathique, reçoit près de 20 candidats par jour…

    En tout cas, il faut se soutenir et partager nos expériences qu’elles soient bonnes ou mauvaises.

    • mlleso dit :

      Pour une annonce marketing/com postée sur le site de l’Apec il y a environ 400 CV reçus en réponse !
      Difficile de sortir du lot !
      Il y a aussi, je pense, une petite part de chance : selon le moment de la journée, l’humeur du recruteur… votre CV peut être injustement éliminé ou alors étonnament sélectionné !

  4. Léa dit :

    Deux ans que j’ai décroché mon master d’histoire, et que je cherche dans le domaine culturel. Entre temps, des stages, des petits boulots…. Et l’impression que cette période va durer toute ma vie. Merci pour ce blog!

    • Kate dit :

      Oh une compatriote!
      Moi aussi ca fait deux ans que j’ai décroché mon master en gestion des industries agroalimentaires et que je continue a chercher en vain. J’ai enchainé les cdd dans une branche complementement differente de la mienne ( la vente dans les telecommunications). Et là, je me demande si les recruteurs ne pensent pas en voyant mon cv que je n’ai plus les compétences pour lequel j’ai effectué mes etudes. Que faire?.

  5. Un de plus dit :

    Les études…être heureux pendant 5ans après son bac, puis après la réalité arrive.

    On peut être heureux d’être cultivé, intelligent, curieux, ouvert, aimer les voyages, parler des langues étrangères, être simple (bref tout ce qu’ILS demandent) mais au final cela sert il pour trouver un travail?
    On dira toujours mais si les études ça sert toujours, il vaut mieux faire des études et être malheureux plutôt que d’être malheureux sans avoir fait d’études. Mais au final s’il on a pas de travail (qui signifie argent, activité, rencontres etc…la vie quoi) comment vit on?Comment peut on réaliser ses rêves auxquels on pense durant ses études?

    Il serait même plus judicieux de ne pas faire d’études, de ne pas être curieux, de ne pas être intelligent car au moins on ne se rendrait pas compte des choses auxquelles on passe à coté. Il faut être stupide et ignorer sa stupidité pour se croire heureux, ne pas voir la réalité en fait.

  6. Deph' dit :

    Un rayon de soleil votre blog Mlle So’!

  7. aurelie dit :

    Je ne regrette pas d’avoir fait mes études. Ce sont mes acquis, comme mon permis de conduire, elles seront mon CV jusqu’à la fin de ma vie. Mais quand je regarde les offres d’emploi pour expérimentés, confirmés, précaires, étudiants, stagiaires, j’ai envie de rendre mon tablier. Je pensais qu’avec mon bac+5 en gestion financière, 3 stages, 3 langues étrangères que ma recherche serait aisée, et bien non. Une DRH de la BPLC me dit qu’il faut refaire une année de M2 en alternance alors qu’une autre de chez Manpower me dit que mon CV est pas mal et que les entreprises aiment les jeunes dip car ils sont corvéables à merci.

    Alors je me dis… Les gens n’aiment pas leur boulot, sont stressés, qu’ils me font de la peine à se lever si tôt pour leur patron soit disant détestable. Je me dis que je vais apprendre à cuisiner, m’occuper de mes deux chats, choyer mon compagnon. Mais aussi j’aimerais travailler, être indépendante, m’acheter ce beau manteau que j’ai vu dans cette vitrine, digne d’une femme d’affaires.

    Je vacille entre l’hyper-motivation de trouver un job et la l’hyper-déception du monde du travail, des stages précaires à peine payés. Je suis intelligente, jeune, motivée, mais personne ne veut de moi. Même pas pour être secrétaire, aide-comptable. Rien.

    J’aimerais rencontrer des jeunes qui sont dans la même situation que moi, histoire d’en parler et de partager tout ça…

  8. KAMILIA dit :

    Bonjour à tous!!

    J’ai accroché directement sur le titre du blog…pour la simple et bonne raison que le 4 novembre prochain, cela fera 1 an que je suis au chômage…cette date correspond à l’obtention de Master II Droit social ( ou master de M…..)….la rentrée de septembre…un cap qui est difficile…je vis très mal cette situation, comme beaucoup de personnes. Autour de moi on me dit:  » tu vas trouver ne t’inquiète pas…. » et maintenant certains me prennent pour une glandeuse…comme si j’avais le choix…et quand je vois les politiques qui se prennent la tête pour gagner les prochaines élections, j’ai envie de dire….ok et pour moi ça change quoi???

    C’est vraiment l’horreur…et j’ai tenté le stage…mais impossible d’avoir une convention de stage…donc j’ai laissé tomber…voilà….
    Ce blog fait du bien, on est moins seul…

    merci!!! et bonne chance à vous tous!!

  9. Marion dit :

    En Janvier, je fêterais la nouvelle année et 1 année de recherche d’emploi infructueuse! /
    Pour moi aussi la rentrée a été dévastatrice sur mon moral! Le problème de la rentrée reste surtout le vide social qu’elle créé!

    Tous les gens autours de moi sont reparti au boulot ou faire leurs études, je ne retrouve plus les ambiances festives de l’été, même le week-end et me revoilà devant mon ordinateur à chercher une nouvelle série en streaming pour m’abrutir devant!

    En un an je suis passée par ces 4 phases:

    1/ super motivée et trop sûre de moi: « je vais trouver du travail en moins de trois mois! »
    2/ toujours motivée et sûre… euh ouais sûre de moi: « bon en 6 mois alors »
    3/ démotivée mais toujours sûre de moi: « je hais cette société qui me rejette, j’ai les qualifications, pourquoi personne ne veut de moi? »
    4/ démotivée, plus du tout sûre de moi: « ils ont raison, je suis nulle, je sers à rien »

    Et voilà la quatrième phase a démarré à la rentrée (comme par hasard!)

    Et tout ça est arrivée parce qu’en tant que chercheur d’emploi, je me suis consacrée qu’à ça, j’ai rien entrepris étant donné qu’à tout moment je pouvais partir à l’autre bout de la France pour un entretien ou mieux un taf!

    Résultat un an de quasi inactivité! Comme je le disais « ma vie est sur pause »

    Mais la quatrième phase m’a vite saoulé et j’ai pris conscience que chercher un emploi ne devait pas être un frein à nos envies. Certes, faute d’argent, on ne peut pas tout réaliser mais voilà les solutions que j’ai trouvé:
    – faire du bénévolat
    – apprendre de nouvelles choses (jouer de la guitare, squater les BU et médiathèque pour lire un max de livres dans des domaines divers que je n’ai jamais pris le temps de connaître (histoire, art, etc.)

    Si j’avais eu cette révélation plus tôt, je me serais aussi inscrite pour faire du sport (perso l’escalade) mais bon en décembre c’est mort!

    Voilà, si d’autres ont des idées et avis à échanger sur ça!

    Ce qui compte, je pense, c’est de ne pas rester inactive durant cette période de recherche d’emploi, pour éviter le pire: l’isolement social!

    Bon courage à tous! (et désolé pour les fautes d’orthographes)

  10. Eluna dit :

    Un petit à coucou Aurélie , si tu repasses par ici ;).
    J’aurais écrit presque le même texte je pense.
    J’entame ma troisième année sans CDI à l’horizon et deux masters en poche(bio et info).
    Du coup je suis partie, sur une troisième réorientation.
    Après , si ça ne marche pas et bien …je ne sais pas.
    Il paraît qu’il recrute chez les braqueurs de bijouterie 😉

    Pour finir une pensée pour toutes les personnes seules en ce mois de décembre.

    Et un grand courage à tous.

  11. charrassier dit :

    bonjour

    une vérité pratique: l’emploi salarié c’est comme un gateau.
    Il y a de moins en moins d’entreprises et de plus en plus de chomeurs.Il y en a plus pour tout le monde. Vous l’aurez compris vous êtes condamné à végéter dans un statut peu enviable.

  12. Audrey dit :

    En effet, comme le dit Marion, le bénévolat n’est pas à négliger. Ça permet de rencontrer des gens, d’élargir son réseau, de rester en activité et de rencontrer des professionnels.

    Je connais une personne qui a même été embauchée comme ça.

    Et surtout, les activités exercées dans l’association peuvent être valorisées professionnellement. Que tu fasses par exemple de la comm en association en tant que bénévole, ou en tant qu’employé, ça reste une expérience professionnelle. D’ailleurs, les employeurs apprécient les personnes ayant fait du bénévolat, car cela implique qu’elles font preuve d’énergie, de générosité, de passion pour leur domaine.

  13. Mlle chômeuse dit :

    J’ai obtenu mon BTS en juin 2011. Vers la fin du mois d’août je me suis inscrite à Pôle emploi. Ça fait maintenant 6 mois que je suis au chômage. Cette période est difficile… mais je ne baisse pas les bras!
    J’ai postulé à des emplois, des petits boulots… je continue à postuler mais c’est sans résultat. J’ai seulement eu un entretien d’embauche et deux réponses négatives.
    Récemment j’ai passé un entretien pour un petit boulot 😉 On verra bien…
    J’ai un projet qui me tient à cœur: partir un an en Angleterre.
    Si après cette année j’ai des opportunités d’emplois je resterai en Angleterre. Je pense que partir à l’étranger est la meilleure solution! Qui ne tente rien n’a rien!

  14. Anita dit :

    Je ne sais pas si ça me rassure de constater qu’on est nombreux dans ce statut de « Chômeurs/ Chômeuses à temps plein », mais aujourd’hui grosse déception pour moi, un entretien que j’avais réussi à décrocher, et la réponse négative qui vient de tomber. « Pas assez d’expériences »… « Mais vous avez un très bon cursus, et je pense que vous n’aurez pas de difficultés à trouver un emploi »… Ah bon! 5 mois que je cherche, je n’en peux plus, j’attends simplement qu’à moi aussi, on me donne ma chance.

    L’étranger, je commence à y penser aussi. Malheureusement, on est de plus en plus nombreux à y songer. Est-ce la meilleure des solutions de fuir? J’ai déjà choisi cette option (Australie), je ne sais pas si c’est très intelligent de retenter l’aventure.

    Et la question qui revient trop souvent  » Alors tu fais quoi maintenant? », tu donnes toujours la même réponse depuis 5 mois. Alors qu’une fois que tu trouves un poste, bizarrement, tu n’intéresses plus vraiment, et on oublie presque où tu travailles.

    Ça m’a fait du bien de lire vos posts!

    Bon courage à tous et à toutes

    • Veilchen dit :

      Bienvenue au club des « sans expérience » malgré plusieurs stages ! J’ai eu plusieurs entretiens, beaucoup de postes m’ont été refusés pour « manque d’expérience », et ce malgré un parcours riche. Je cherche depuis 5 mois aussi, et j’entame le 6ème avec difficulté. Je ne compte pas partir car la situation économique des autres pays est guère meilleure…

      Pour le regard des gens, je suis bien d’accord. de toutes les façons ils n’ont rien d’autre à foutre que de juger, alors… Et pis dis toi que tu as une vie à toi, qui dépend d’autre chose que du travail.

      Je te conseille de lire des blogs sur la précarité, le chômage, histoire de voir que tu n’es effectivement pas seul dans ce cas là, mais aussi pour relativiser 🙂

      Bon après midi !

  15. berth dit :

    pourquoi aller travailler à l’étrangé n’est pas la meilleur solution :
    déjà vous n’êtes pas sûr de trouver un emploi à l’étrangé !
    en plus vous êtes pas sur qu’il sera bien payé !
    par contre vous ête sûr que ce projet vous coutera de l’argent !
    de plus on est loin de sa famille !
    a supposé que vous trouviez vous n êtes pas sûr que l’expérience acquise intêresera les entreprises de retour en france
    DONC RETOUR EN FRANCE AU CHOMAGE GARANTI ET PERTE D ARGENT GARANTI

  16. berth dit :

    POURQUOI LES DIPLOMES NE VALENT PLUS RIEN
    selon une enquete 40 à 60 % des diplomés du supérieur de 2004 n’ont pas trouvé d’emploi en rapport avec leur formation initiale (ouest france), ils se contentent de travailler dans un autre domaine
    selon une autre enquête de 2006 , 30 à 40 % des diplomés du supérieur sont déclassés quand ils trouvent un emploi (INSEE)
    a cela s’ajoute la précarité des emplois obtenu et ceux toujours aux chomages
    ces études sont menées hors périodes de crise : avec la crise c’est encore pire !
    les politiques actuelles ont pour objectifs 85 % doivent avoir le Bac et 50 % un bac+3 c’est l’hyperinflation des diplômés !
    trop de diplomés tue la valeur des diplomes , entraine la baisse des salaires , le chomage et la précarité des diplomés du supérieur
    LA SITUATION NE VAT DONC PAS S AMELIORER

  17. Nass' dit :

    On paie tout simplement les erreurs de nos aînés qui se sont engraissés à des postes clés. On vit dans une société qui a vécu au-dessus de ses moyens et à force de tirer sur la corde, elle rompt… Pour sauver leurs postes, nos beaux élus travailleurs inventent une quantité astronomique de compétences fantaisistes à posséder pour infiltrer le milieu professionnel. Sincèrement, je m’en tape de leur théorie à la con, de leurs aptitudes psychologiques, mentales. De leurs tests de sélection naturelle. Je veux travailler point barre!! Je veux gagner du fric (ce que tout le monde recherche je suppose pour construire sa vie et se construire via les relations sociales)

    Le travail entretient une fonction thérapeutique pour l’individu, ne le précarise pas et le fait élever. Je serais pas étonné de voir un jour un déséquilibré frustré organiser une tuerie dans les locaux de l’ANPE. Certes, je ne cautionne pas les actes de barbarie, mais je comprendrai ce geste irréparable. Nous ne sommes pas écoutés parce qu’on est jeunes donc cons et inexpérimentés. J’ignore ce qu’il faut de plus pour trouver un job. Se greffer un nouveau cerveau, appliquer un visage d’européen sur le sien ?

    • Josefine dit :

      C’est marrant que tu dises ça car je pense la même chose que toi.
      Pour ce qui est des conneries des RH, je suis d’accord avec toi. D’ailleurs, elles s’invitent même dans les universités. Mon copain, prof dans le supérieur, est chargé avec ses collègues de refondre les programmes dans sa filière. Tout ceci se fait avec les entreprises, mais pas avec n’importe quels membres des entreprises. Les DRH. Des petites nenettes qui ne comprennent en rien le métier technique de la filière, mais qui débarquent avec leurs « savoir-faire », leurs « savoir-être », les compétences trucs muche…

      De toutes les façons, le marché est tendu, soit-disant. Donc tout est bon pour mettre des filtres à tous les niveaux. Dans certaines annonces, et ceci a été confirmé par la dame que j’ai vu cet après midi chez Hays, on demande parfois un diplôme spécifique ou encore une école. Fini les temps où les passerelles et les compétences étaient transversales !!

  18. Nass' dit :

    Et c’est fou comme le marché actuel est cadenassé de toutes parts. Même en postulant comme caissier, on me reproche d’avoir un CV trop luxueux et donc, je risque de m’ennuyer car trop qualifié. Incroyable… L’élite, sous des paravents théoriques pompeux, veut protéger ses positions. L’argent est le nef de la guerre.

    Je suis déçu par ce monde adulte que je fantasmais comme responsable, intègre et fiable durant mes études. Ce qu’ils font, c’est dégoûter les jeunes de l’emploi. Qu’ils continuent ainsi, et ils découvriront que la frustration emmagasinée risque de leur péter à la figure.

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